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Prédire la survie des passagers en fonction de la nationalité, de la classe et du genre
Ce projet analyse les données des passagers du Titanic en se focalisant sur la façon dont des variables comme le sexe, l'âge, la classe sociale et la nationalité influencent les chances de survie lors de la catastrophe. Le modèle développé vise à prévoir la survie des passagers en fonction de ces caractéristiques. La langue, en particulier l'anglais, a également joué un rôle dans la compréhension des instructions d'évacuation, une langue bien moins répandue à l'époque qu'aujourd'hui.
Vous pouvez explorer la version interactive de cette analyse en visitant l'application déployée sur Streamlit : Déploiement Streamlit : Titanic, la survie selon le sexe, l'âge, la classe et la nationalité.
Pour cette analyse, nous utilisons le dataset Titanic, qui contient des informations sur les passagers à bord du Titanic. Les variables clés incluent :
Les principaux objectifs de ce projet sont :
Les prochaines étapes de ce projet incluent :
"La combinaison de la nationalité, de la classe et du genre offre une perspective nuancée sur les taux de survie, révélant des informations plus profondes sur les dynamiques de la tragédie du Titanic."
L'analyse menée dans ce projet montre que le genre, la classe et l'âge étaient les principaux déterminants de la survie sur le Titanic. Les femmes et les enfants, surtout ceux en première classe, avaient des taux de survie nettement plus élevés, tandis que les hommes, en particulier ceux de la troisième classe, faisaient face à des risques beaucoup plus grands. La nationalité a également joué un rôle, quoique plus indirect, reflétant les disparités socio-économiques plus larges de l'époque.
Un autre aspect à prendre en compte est que le Titanic était sous pavillon britannique, ce qui signifie que l'évacuation et les instructions étaient données en anglais. Or, à cette époque, l'usage de la langue anglaise était bien moins répandu qu'aujourd'hui. Les passagers dont la langue maternelle n'était pas l'anglais pouvaient avoir plus de difficultés à comprendre rapidement les consignes, ce qui a pu influencer leurs chances de survie. Toutefois, il est important de noter que beaucoup de passagers venaient de territoires appartenant à l'empire britannique, où l'anglais était une langue commune, bien que les cultures et les origines soient différentes.
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